After banking secrecy, the total exposure of citizens: the OECD organises the taxation of tyranny

Ce n’est pas une réforme fiscale.
Ce n’est pas une lutte contre la fraude.
C’est un changement de régime silencieux.

Après avoir détruit le secret bancaire, les mêmes instances supranationales s’attaquent désormais à la propriété privée elle-même. L’OCDE vient d’annoncer un nouvel accord d’échange automatique sur l’immobilier détenu à l’étranger. Derrière le jargon technocratique se cache une réalité brutale : la mise sous surveillance intégrale des patrimoines, des successions et des citoyens, sans vote, sans débat, sans mandat populaire. Ce qui commence par la « transparence » finit toujours par le contrôle total.

Ce qui se présente comme une simple « coopération fiscale » est en réalité un changement de régime.

L’OCDE vient d’annoncer l’AMAC RBI (Automatic Exchange of Information on Real Estate), un nouvel accord d’échange automatique d’informations portant sur les biens immobiliers détenus à l’étranger.

Après avoir détruit le secret bancaire au nom de la « transparence », la même mécanique s’attaque désormais à l’immobilier, aux successions et au patrimoine privé global.

Il ne s’agit pas d’un ajustement technique.

Il s’agit d’un système de surveillance patrimoniale supranationale, hors de tout mandat populaire.

Une architecture de contrôle globalisée

D’ici 2029–2030, les administrations fiscales recevront automatiquement :

  • la liste exhaustive des biens immobiliers détenus à l’étranger,
  • leur valeur estimée,
  • les revenus locatifs,
  • les données utiles aux successions et transmissions.

Les pays signataires couvrent déjà l’essentiel du monde occidental : Allemagne, France, Royaume-Uni, Italie, Espagne, pays nordiques, mais aussi Brésil, Afrique du Sud, Nouvelle-Zélande.

Objectif assumé : reconstituer le patrimoine mondial des citoyens, actif par actif, pays par pays.

L’OCDE ne s’en cache pas : ce dispositif n’est qu’une première brique. La feuille de route vise à terme une transparence totale sur l’ensemble des actifs non financiers.

Les conséquences fiscales sont explosives

Les effets sont parfaitement identifiés :

  • Imposition des loyers étrangers dans le cadre du revenu mondial,
  • Intégration des biens étrangers dans l’impôt sur la fortune (IFI et équivalents),
  • Traçabilité intégrale des héritages internationaux,
  • Fin de toute optimisation patrimoniale transfrontalière.

In other words:

vous n’échappez plus à rien, nulle part, jamais.

Ce n’est plus la fraude qui est ciblée.

C’est la propriété privée elle-même, devenue suspecte par nature.

Un pouvoir sans peuple, sans frontières, sans responsabilité

L’OCDE n’est pas élue.

Elle ne rend de comptes à aucun peuple.

Pourtant, elle impose des normes fiscales qui s’appliquent automatiquement, sans vote, sans référendum, sans débat démocratique.

Comme le rappelait Friedrich Hayek :

« La route de la servitude est pavée de bonnes intentions. »

La « lutte contre l’évasion » sert ici de prétexte à une centralisation fiscale mondiale, où l’individu est réduit à une ligne dans une base de données.

Nous ne sommes plus face à un État fiscal.

Nous entrons dans une fiscalité algorithmique, transnationale, permanente, irréversible.

Contrôle, fiscalité, tyrannie : la séquence est connue

Historique immuable :

  1. Suppression du secret bancaire
  2. Échange automatique d’informations financières
  3. Traçage des actifs immobiliers
  4. Extension aux actifs non financiers
  5. Alignement fiscal forcé
  6. Asphyxie de la propriété privée

C’est la fin de la souveraineté patrimoniale.

Ce que certains appellent « transparence » est en réalité une présomption de culpabilité généralisée, où tout citoyen devient un contribuable à surveiller.

Conclusion : quand tout est visible, tout devient taxable

Une société où tout est traçable est une société où tout est saisissable.

Sans secret, il n’y a plus de liberté.

Sans souveraineté fiscale, il n’y a plus de démocratie.

Sans propriété protégée, il n’y a plus de citoyen — seulement des sujets.

L’AMAC RBI n’est pas une réforme.

It is a acte de dépossession.

Et comme toujours dans l’histoire, la tyrannie n’arrive pas en bottes —

elle arrive en tableaux Excel, sous couvert de « bonne gouvernance ».

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